Les chevaux sont des animaux avec un système digestif très spécifique et très sensible, donc les nourrir selon certaines règles est la base de leur entretien. Cela affecte non seulement la santé physique du cheval, mais aussi son psychisme. Voici 4 règles qui aideront chaque propriétaire à avoir un cheval heureux.
L'eau est nécessaire à la vie
Un cheval adulte doit boire de 30 à 70 litres d'eau par jour. La demande en eau est individuelle et dépend de l'âge, de la race, de la santé, du mode d'alimentation ainsi que de la température et de l'humidité ambiantes, ainsi que des préférences. Pour plus d’astuces, cliquez maintenant sur le lien. Assurez-vous que l'eau offerte est propre et fraîche, la meilleure solution est d'avoir un accès constant à l'eau, mais si cela n'est pas possible, il convient de donner à boire aux chevaux avant chaque repas, au moins deux fois par jour. En été, jusqu'à 5 fois par jour.
Les fibres sont à la base de la nutrition des chevaux
Comme chaque éleveur le sait, un accès constant à l'alimentation des chevaux est important pour garantir que le système digestif est constamment rempli et que les sucs digestifs sont neutralisés. Nourrir du foin, de l'enrubanné, de la balle et même de la paille prévient les problèmes de comportement et de santé. 1-2 kg de foin pour 100 kg de poids corporel par jour est le minimum.
Comment nourrir les chevaux ? Peu et souvent
L'estomac d'un cheval est très petit par rapport à l'ensemble de son système digestif et à son poids corporel. En raison de cette caractéristique, plus la nourriture est concentrée, plus la nourriture sera digérée rapidement et sa rétention dans l'estomac sera préjudiciable à la santé. Par conséquent, il est important d'utiliser des aliments concentrés dans les plus petites quantités possibles, un maximum de 2 kg par repas pour un cheval de grande taille.
Pas de changements drastiques
Introduisez progressivement de nouveaux aliments et suppléments. Les bactéries habitant le gros intestin et impliqués dans le processus digestif doivent s'habituer à de nouveaux défis. Des changements soudains dans la nutrition peuvent les faire mourir et même produire des substances toxiques et une perturbation métabolique générale dans le corps.